Archives de catégorie : art

Dead drops hit Flagey

Suivant l’idée et l’appel d’Aram Bartholl j’ai installé un Dead Drop Place Sainte-Croix.

Ses données techniques et sa localisation précise sont visibles sur les pages du projet (directement ici aussi mais sans navigation)

Pour vous faire une idée de l’idée voici une citation du « Manifeste »

“Dead Drops” est un réseau anonyme d’échange de fichiers hors ligne, de pair à pair et dans l’espace public. Il consiste en l’utilisation de clés USB, appelées “Dead Drop”, insérées et scellées dans des murs d’enceinte ou d’immeubles et accessibles à tous. Tout le monde est invité à déposer ou récupérer des fichiers d’un Dead Drop. Branchez votre portable à un mur, à une maison, à un poteau, et partagez vos données et fichiers favoris. Chaque Dead Drop est installé vide de tout contenu à l’exception d’un fichier en texte simple de description du projet (readme.txt). “Dead Drops” est ouvert à participation. Si vous souhaitez installer un Dead Drop dans votre ville ou votre région, suivez les instructions d’installation, puis soumettez-nous son emplacement en incluant des photographies.

Boya Entertainment de l’electro bien de chez nous

103009_2129_BoyaEnterta1.jpg

Tout a commencé avec mon retour à la médiathèque que je boudais depuis des lustres. Judicieusement posté, en route vers la sortie, l’ilôt dédié aux chouchous de Brigitte.

En me laissant porter par ma curiosité je tombe en arrêt devant une pochette au graphisme troublant agrémenté du petit cÅ“ur vert et du texte en ALL CAPS qui fait la marque de fabrique de la médiathécaire.

Boya Entertainment

En gratant je découvre que Ext’Int est une production du label Geminiaco-bruxellois : Boya Entertainment

J’écoute la plaque dans ma voiture, cherchant les embouteillages qui feront durer le plaisir le plus longtemps possible. Une musique très dépouillée, simple, limpide et la voix entêtante de Maxime Duquesne. En fouillant je me rendrai compte qu’il avait remporté le concours de démo de Pure FM en 2009 (merci Elle.be)



Son channel YouTube

Le mercredi qui suit je réemprunte le CD derechef (c’est la première fois que je fais ce truc insensé à l’ère du rip en deux clics mais posséder l’objet lui confère une valeur supplémentaire et je ne peux le laisser partir), fonce vers le bac de Brigitte muni de la liste des références du label Boya que la médiathèque possède.

Deux nouvelles prises Bishop Dust et son « Horsy Vibes & Rooking Dubs » et un sampler des membres du collectif : « Boya’s Beats & Bliss ». 

Bishop Dust - Horsy Vibes & Rooking Dubs 

Brigitte en parlait sur son blog en mars déjà. Parfois la sérendipité ça ne passe pas par spotify ou last.fm, juste par un lieu qui reste un carrefour des envies et des propositions.

Félix Luque – Chapter 1, the Discovery

En passant 4 jours au centre iMal à bidouiller des cartes arduino et des scripts processing j’ai été heureux de recroiser Félix Luque dont j’avais fait la connaissance en février.

Il travaillait d’arrache-pied au montage de la vidéo de présentation de son installation « Chapter 1, the Discovery« .

Un sublime dodécaèdre sombre, luminescent et réactif. Une Å“uvre développée au cours de sa résidence dans le centre avec le soutien de la cellule arts numériques de la Communauté française.

A voir au LABOral tout l’été. Si c’est trop loin offrez-vous le full screen sur Viméo.


Régine interviewe Félix sur wmmna

GeoTales locative media chez iMAL

J’ai reçu confirmation de mon inscription au stage de 5 jours organisé par iMAL : GeoTales locative media.

Il s’agira de faire joujou avec des GPS, des coordonnées de géolocalisation et des outils de traitement.

Si le stage est payant et limité à 15 places, une présentation publique aura lieu le 23/02 à 14h et le résultat des workshops sera présenté le 27/02 à 20:30.

Si la « matière » et la généalogie des arts impliquant le GPS ne devaient pas être clairs un excellent dossier récapitulatif en français a été réalisé par Benoît Bordeleau

Je suis enthousiaste à l’idée de rencontrer Esther Polak qui mènera le projet. J’ai depuis longtemps une grande admiration pour son travail et particulièrement pour le projet de cartographie collaborative qu’elle a mené à Amsterdam à la fin du siècle dernier.